Connu pour sa gestion rigoureuse, Jean-Pierre Dewitte a été l’un des premiers directeurs de CHU, celui de Poitiers, à équiper ses médecins de la dictée numérique et de la reconnaissance vocale.
Pourquoi avez-vous lancé ce projet ? L’activité du CHU augmentait, le mécontentement des médecins aussi ! À chaque CME ils me faisaient part des difficultés du secrétariat. Or, nous ne pouvions pas augmenter les effectifs. Pour travailler mieux, nous avons donc choisi la solution proposée par Anticyclone. Mais nous avons été très prudents, et nous avons commencé par nous assurer de la fiabilité du produit. Un test, en 2011, nous a convaincus. Quelle a été votre démarche ? Le CHU de Poitiers compte 2 000 lits, répartis en dix pôles. Nous avons décidé d’équiper d’abord le pôle neurosciences et de former son personnel. Nous devions prendre un pôle dans son ensemble, pas trop petit, car nous travaillons avec une vision de territoire. Et un pôle de bonne dimension est un territoire, avec de nombreux acteurs. Les secrétaires vont d’un étage à un autre, les médecins se déplacent d’une aile à une autre. C’était une solution idéale pour vérifier les atouts de la reconnaissance vocale. Comment avez-vous déployé ce nouveau secrétariat ? Tout a commencé par le travail de nos informaticiens. Il fallait obtenir une bonne ...
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