Peu commentée il y a encore quelques années, la question de l’hébergement des données personnelles et des moyens mis en place pour assurer leur protection par les éditeurs de logiciels est aujourd’hui au cœur des préoccupations des organisations. Traitant au quotidien des données personnelles au caractère extrêmement sensible et confidentiel, les établissements de santé doivent faire face à un double enjeu : s’équiper d’outils collaboratifs suffisamment étoffés fonctionnellement pour améliorer leur communication interne mais également capables de garantir l’hébergement, l’intégrité et la sécurité de leurs données. Dans un marché dominé par les solutions américaines soumises à la juridiction de leur pays, Jamespot, leader des solutions collaboratives françaises dans le cloud, entend proposer un choix alternatif, combinant le meilleur de la collaboration et de la sécurité dans le numérique.
Collaboration ou sécurité : le choix impossible du secteur médical En fonction de leur stratégie SI, les institutions de santé sont de plus en plus nombreuses à suivre la tendance du cloud pour l’hébergement de leurs données internes, en raison des bénéfices techniques et financiers que celle-ci propose. Mais si la sécurité fait partie des critères les plus scrutés par les organisations sur la question des outils, peu de secteurs sont autant concernés par cette problématique que le secteur médical, de par la criticité des données qui y sont traitées. Des données hautement confidentielles qui obligent les organismes de santé à choisir les solutions les plus sécurisées. Des solutions qui doivent obligatoirement détenir la certification HDS (Hébergement des données de santé) afin de montrer leur capacité à héberger les données des organisations issus du secteur médical. Si le cloud est une opportunité pour le secteur médical, il n’est pas pour autant sans risques : sur le plan de la sécurité, les cyberattaques et les tentatives de vol sont de plus en plus répandues : en 2022, le nombre de cyberattaques a augmenté de ...
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